L’Union Générale des Israélites de France (UGIF)
En novembre 1941, sur ordre des Allemands et à la suite d’une loi française, les organisations juives sont dissoutes et forcées d’accepter leur rassemblement au sein de la nouvelle Union Générale des Israélites de France (UGIF), placée sous tutelle de l’Etat. Beaucoup espèrent poursuivre leur œuvre d’assistance. La moitié des services de l’UGIF sont structurés en fonction des besoins des enfants. L’OSE et la Rue Amelot continuent, par exemple, leurs activités au sein du 5e service, en charge des foyers d’enfants et des dispensaires.